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Après avoir fêté ses 20 ans l’année dernière avec une tournée de 45 concerts de mars à début octobre, Sergent Garcia revient en 2019 pour une quinzaine de concerts, mais cette fois avec la formule historique à 9 musiciens sur scène, en laissant totalement les machines dans le placard (Le groupe vient de jouer devant plus de 30.000 personnes, invité spécialement par la direction culturelle de la ville de Mexico, Festival Tierra Beat).
Cela fait donc une vingtaine d’années que l’instigateur de la Salsamuffin, avec ce mot, condense le métissage qu’il a réalisé entre la rumba, le ska, le reggae, le dance hall et les rythmes latins et afro‐antillais, venu de sa recherche quant aux héritages musicaux de pays comme le Mexique, Cuba et la Colombie, sans jamais perdre cette attitude punk du groupe des années 80 Ludwig Von 88. Sergent Garcia enflamme L’Europe et l’Amérique, du Nord au Sud et a ouvert ses portes depuis “long time” à tous les côtés artistiques de son métier. Il a dirigé des festivals, a produit d’autres artistes, collaborés avec des Cypress Hill, Ojos de Brujo, Amadou & Mariam, Peret, La 33, Bomba Estereo, lancé la chanson « Abre los ojos » avec 14 chanteurs de la scène reggae espagnole dans une campagne contre l’intolérance, et va avec son voilier-studio le Guakamayo, traverser l’Atlantique en 2020…
En même temps, il est devenu une référence pour de nombreux groupes et interprètes actuels qui reconnaissent qu’ils ont bu de son influence.
Son compromis politique, sa position claire en faveur des minorités, des « disparus » et de la protection de l’environnement, sont des thèmes présents dans ses chansons et aussi pour
lesquelles son travail marque les différentes générations.
Sur scène, Sergent Garcia parcourt ses chansons devenus mythiques dans leur style (« Amor pa Mi », « Acabar mal », « Yo soy Salsamuffin », « Jumpi », « Medicine Man » « Yo me voy pa’ la Cumbia », Dulce con Chile » et un long etc…) où ses fans fidèles qui l’ont suivi tout au long de sa carrière répondent souvent présent, sans oublier les nouveaux qui se joignent tout au long du chemin, par terre ou par mer.
Vidéo des 20 ans : https://youtu.be/RtKmTYW9t_s
« PUERTO CANDELARIA est le groupe de musique le plus audacieux, controversé et innovant de la Colombie de cette dernière décennie ». Puerto Candelaria est la proposition musicale la plus osée, controversée et innovante de ces derniers temps en Colombie. Une explosion sonore qui a dépassé les frontières, s’est moqué des schémas et a fait son chemin dans la scène musicale indépendante/
Un lieu imaginaire et réel à la fois où la musique n’est pas le seul protagoniste : le théâtre, la danse et l’humour sont portés en étendard. Ces diverses disciplines artistiques sont les recours
poétiques dont jouent les 6 artistes pour exprimer avec acidité et une certaine moquerie de ce qu’est la Colombie controversé d’aujourd’hui. Porte-parole d’une jeunesse qui n’entend
pas se laisser étouffer par les images réductrices du conflit des FARC et du narcotrafic, Puerto Candelaria souffle dans ses voiles et débarque en EUROPE.
Puerto Candelaria voyage dans une profondeur de sons originaires des traditions colombiennes et joue avec le réalisme de toutes les influences réunies dans tous ses voyages (ports visités par le Candelaria navire) et l’inspiration inépuisable du Sargento remolacha ( « sergent Betterave » Juancho Valencia, directeur et pianiste) qui mit la voile il y a 18 ans avec aucune intention de revenir .
Complétement décalés, le groupe Colombien le plus underground a su se faire remarquer lors de leur deux dernières tournées Européenne avec plus de 80 dates (Womex, Tempo Latino,
Bout du Monde, Fiesta des Suds, Les Hauts de Garonne, La Tempora, Quai Branly, Espace des Arts Chalon, Le Dome Theatre, Theatre Jean Vilar Vitry, L’epicentre, Amsterdam Roots, Esperenzah, Polé Polé …) Il reste dorénavant le groupe de référence le plus représentatifs de la scène musicale Colombienne. Ils ont joués dans plus de 100 villes à travers le monde couvrant l’Europe, l’Amérique du Sud et en Amérique du Nord, les ventes de disques en Amérique Latine ont une influence notable qui rend Puerto Candelaria, ainsi que son producteur, Merlin Producciones, un modèle de réussite pour l’industrie de la culture en Colombie
En 1994, Vincent Laffaire, musicien et enseignant largue ses amarres musicales et met le cap sur La Havane. Durant un an, il s’immerge totalement dans la luxuriante culture cubaine qui offre un extraordinaire métissage des continents africain, américain et européen. Dans ce creuset artistique magique, ses rencontres et son travail avec les musiciens de la Havane : Rodolfo Peruchin Argudin, Joseito Gonzales, Wicho Rodriguez, Ivan Melon Gonzales, Giraldo Piloto Barreto, lui permettent de découvrir et de pratiquer la salsa cubaine.
De retour en France, il rapporte dans ses valises ces sonorités exaltantes qu’il partage et propage passionnément avec des musiciens français et cubains principalement installés en Midi-Pyrénées et en Limousin.
Un premier disque «Un consejo sano» est enregistré en 2006 à Toulouse. Un deuxième, intitulé «No aguanto mas», est le résultat d’une collaboration avec Yusef Diaz, compositeur et co-producteur de l’orchestre Klimax. Il est enregistré début 2010 à Toulouse et à la Havane puis mixé au studio EGREM à La Havane.
Un troisiéme « Centro Habana« vient de sortir. Il a été également enregistré entre la France et La Havane avec deux featuring célèbres Mandy Cantero chanteur de Los Van Van et Leo Vera ancien chanteur de La Charanga Habanera.
Pamiers Loco festival Latino
Pamiers Loco festival latino à Pamiers, salsa & bachata, animations musicales, feu d’artifice, concerts gratuits
